N'oubliez pas de réserver l'exposition "Ludwig van Beethoven, sa vie, son oeuvre" auprès de Association Beethoven France et Francophonie, à découvrir sur le site de l'ABF |
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Écouter quelques Lieder de Ludwig van Beethoven |
A ce jour, ce site www.LvBeethoven.fr vous propose 928 fichiers midi et 389 fichiers mp3des œuvres de Ludwig van Beethoven. En ce qui concerne les fichiers Midi, ce sont des musiques au son électronique, qui sont créés - on dit "séquencés" - par des musiciens qui en deviennent propriétaires. Ce n'est donc pas un son issu d'un orchestre, mais le résultat est souvent surprenant. A vous de les écouter... N'hésitez pas à consulter notre rubrique "Quelques précisions sur les fichiers midi". |
Œuvres pour la voix - WoO - Kinsky |
WoO 89 5'17" |
Prufung des Kussens : Meine weise Mutter spricht, air en fa majeur Cette œuvre "L’épreuve du baiser" a été écrite à Bonn en 1790 pour voix de basse et orchestre et éditée pour la première fois en 1888. L’édition moderne est publiée pour voix de basse et piano ; j’ai remplacé la voix de basse par un basson. Il s’agit d’une musique simple et guillerette. |
Séquencé par Pierre-Jean Chenevez |
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WoO 90 6'45" |
Mit Madeln sich vertragen, air en ré majeur Cette œuvre "Avec Madeleine" a été écrite à Bonn en 1790 pour voix de basse et orchestre et éditée pour la première fois en 1888. L’édition moderne est publiée pour voix de basse et piano ; j’ai remplacé la voix de basse par un basson. Il s’agit d’une musique simple et joyeuse. |
Séquencé par Pierre-Jean Chenevez |
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WoO 91-1 2'23" |
Die schöne Schusterin, premier air de singspiel Ce morceau correspond au premier air de l’œuvre WoO 91 "La belle cordonnière" ; il a la même mélodie que le quatrième air de l’opus 52 écrit par Beethoven en 1793 en mi bémol majeur, pour ténor et piano, et transcrit par lui en 1796, avec des aménagements mineurs, en fa majeur, pour ténor et orchestre. L’opus 52 a été édité pour la première fois en 1805, tandis que l’œuvre WoO 91 a dû attendre 1888. |
Séquencé par Pierre-Jean Chenevez |
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WoO 91-2 5'41" |
Die schöne Schusterin, second air de singspiel Ce morceau correspond au deuxième air de l’œuvre WoO 91 "La belle cordonnière", écrit en 1796 pour ténor et orchestre en si bémol majeur, et éditée pour la première fois en 1888. L’édition moderne est publiée pour ténor et piano ; j’ai remplacé la voix de ténor par un hautbois. Il s’agit d’une musique comportant une belle mélodie. |
Séquencé par Pierre-Jean Chenevez |
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WoO 92 9'42" |
Primo amore, scène et air en la majeur Cette œuvre "Premier amour" a été écrite vers 1795 pour soprano et orchestre, et éditée pour la première fois en 1888. L’édition moderne est publiée pour soprano et piano ; j’ai remplacé la voix de soprano par un hautbois. Il s’agit d’une musique très élaborée, d’une écriture assez complexe et contrastée, dont l’écoute montre un esprit créatif exceptionnel, |
Séquencé par Pierre-Jean Chenevez |
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WoO 93 1802-1803 7'07" |
Nei giorni tuoi felici, duo en mi majeur, pour soprano et ténor avec orchestre. | Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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WoO 95 2'06" |
Cette œuvre "Les princes alliés" a été écrite en 1814 à Vienne pour 4 voix (soprano, alto, ténor et basse) et orchestre, et éditée pour la première fois en 1888. L’édition moderne est publiée avec la distribution originale, et j’ai été amené, pour restituer et écouter commodément cette œuvre, à remplacer les voix par 4 instruments à vent (flûte, hautbois, clarinette et basson) et réaliser l’accompagnement avec un piano et un violon. |
Séquencé par Pierre-Jean Chenevez |
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WoO 99-1 Hess 211 1801-1803 1'28" |
Bei
labbri che amore, chant en mi bémol
majeur, pour soprano et ténor. Beethoven
composa plusieurs chansons italiennes entre 1792
et 1803. La presque totalité des chansons
n'a pas d'accompagnement mais est à Cappella. Le texte est de Pietro Metastasio (Roma 1698 - Vienne 1782). Ces chansons sont des exercices ; en effet quelques-unes comportent des corrections d'Antonio Salieri. En particulier Hess 211, qui remonte à la période 1792-1793. Manuscript Artaria 166 S.46. Le texte en italien (extrait de "La Gelosia") : Bei labbri che amore |
Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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WoO 99-3a |
Fra tutte le pene La première version fut publiée par Willy Hess dans le livre premier des Supplemente zur G.A., en 1959 : Hess 208. La deuxième version fut publiée par Kinsky - Halm avec le numéro de WoO 99-3a. Le texte est tiré de
"Zenobia" de Pietro Metastasio: |
Séquencés par Fiorella e Armando Orlandi |
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WoO 99-11 Hess 215 1795-1796 0'35" |
Scrivo
in te Texte en Italien de Metastasio
(tiré de la cantate 'Il nome') : |
Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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WoO 101 1802 0'43" |
Graf, Graf, liebster Graf..., plaisanterie musicale, en mi bémol majeur. |
Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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WoO 103 1814 5'08" |
Un lieto brindisi : Johannisfeier begehn wir heute!, petite cantate en si bémol majeur, pour quatre voix (soprano, 2 ténors et basse) avec piano. |
Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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WoO 106 1823 1'48" |
Lobkowitz-Kantate : Es lebe unser teurer Furst !, cantate en mi bémol majeur, pour soprano et choeur avec piano - Texte : Ludwig van Beethoven. |
Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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WoO 107 1783 0'46" |
Schilderung
eines Madchens : Schildern, willst du Freund,
lied en sol majeur, pour soprano avec piano. Schildern, willst du Freund,
soll ich dir Elisen? Wie in einer Winternacht Sterne
strahlen, |
Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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WoO 108 1784 ? 0'48" |
An
einen Saugling : Noch weisst du nicht wess Kind
du bist, lied en la majeur, pour soprano
avec piano. Publié par Spire, Blimenlese für Klavierlieberhaber II, Bossler, 1784, II, page 44. Écrit sur deux lignes seulement, avec la voix sous la ligne premier. Le manuscrit est perdu. Le texte poétique est de J. von Dohring, et non de Wirths, comme Thayer et Nottebohm le pensaient ; il est conservé au Musée Almanach de Gottingen. Noch weißt du nicht wes
Kind du bist, Geneuß indes mit frommem
Sinn, So hegt und pflegt uns alle
hier, Zwar faßt ihn nicht mein
dunkler Sinn, |
Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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WoO 109 env. 1797 1'33" |
Trinklied: Erhebt das Glas mit froher Hand (Levez votre verre), lied pour soliste avec choeur à l'unisson et piano. Composé en 1797 (environ) et publié pour la première fois dans le supplément de la G.A., 1888. G.A. n° 282 (série 25-19) Boett. I-3 Bruers 269 KH (WoO) 109 - Petters 15 - SCH. page 216 - 11 - Thayer 20, Biamonti 13. Le manuscrit original se trouve au British Museum. Texte d'un auteur inconnu. Composé à l'occasion d'un congé (beim Abschied zu singen). Le choeur fait écho deux fois au soliste en répétant, avec la même musique, les paroles finales. Erhebt das Glas mit froher Hand |
Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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WoO 110 1787 3'36" |
Elegie auf den Tod eines Pudels (Élégie pour la mort d'un chien clochard), pour voix et piano, 1787 (environ) publié dans le Supplemente de la GA 1888. (Il n'est pas exclu qu'il ait existé une édition plus ancienne mais aujourd'hui introuvable). GA. n. 284 (série 25/21) - Boett. 1/4 - BRUERS 271 - KH. (WOO)11O - L. IV, P. 350/q - Petters 16 - Sch. p. 216/12 Thayer 272. Le manuscrit original a disparu. Le document à l'origine de la publication de la G A. était un manuscrit conservé dans le Rudolphinum (la collection des copies de compositions de Beethoven, que l'Archiduc Rudolphe avait fait faire pour son propre usage en 1822, d'après laquelle Haslinger tenta de préparer une édition générale des œuvres du maître). Le texte d'un inconnu, plutôt sentimental et un peu plaintif, a déterminé le double aspect de la musique : regret d'un décès (fa mineur, modulant en la bémol majeur) dans les premieres trois strophes, auxquelles répondent, par la suite, en fa majeur, des pensées de résignation et de réconfort sur un thème qui reproduit le premier, un peu modifié, et avec un accompagnement d'arpèges vifs et léger. Les paroles : 1. Stirb immerhin, es welken ja so viele 2. Auch meine Freude du! dir fließen Zahren, 3. Allgeber gab dir diese feste Treue, 4. Du warst so rein von aller Tück' und Fehle 5. Oft, wenn ich des Gewühles satt und müde 6. Trüb sind die Augenblicke unsers Lebens, 7. Doch soll dein Tod mich nicht zu sehr betruben; 8. Mein herz soll nicht mit dem Verhangnis |
Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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WoO 111 env. 1790-1792 1'25" |
Punschlied : Wer nicht, wenn wam von Hand zu Hand er Punsch, lied en sol majeur, pour choeur à l'unisson. |
Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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WoO 112 env. 1790 3'02" |
An
Laura (À Laura) : Freund' umbluhe
dich auf allen Wegen, pour voix et pianoforte,
1790 environ. Lied décrit, et publié
la première fois par Georg Kinsky, Musikhistorisches
Museumvon Wilhelm Heyer en Koln, IV, 1916, numéro Le manuscrit fut retrouvé en 1911 dans une collection privée d'autographes à Leipzig, et il fut acheté par le Wilhelm Heyer Museum de Cologne de Georg Kinsky. Mis à la vente après la mort de Wilhelm Heyer en 1927, il devint la propriété de la Beethovenhaus. Il fut malheureusement perdu dans un incendie criminel en 1960. Il en existe cependant une photocopie. Une édition pianistique de la première partie fut publiée sous le titre "Numéro 12" dans l'édition viennois Diabelli (1826) des Bagatelles Opus 119, mais il très très peu probable que ce soit œuvre de Beethoven. Texte poétique de Matthisson.Freund' um bluhe dich auf allen
Wegen, Lachelnd wird der Seraph nieder
schweben, Dann tone Gottes ernste Waage
Wonne dir, |
Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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WoO 113 env. 1790 3'24" |
Klage
(Plainte): Dein Silber schien (ta clarté
argentée resplendissait). Pour voix et
piano, 1790 publié la première fois
dans la G.A. 1888. GA n.283 (série 2520)
- Boett. Le-9 - Bruers 270 - KH (WoO) 113 - P.25
- Sch. pages 216-18 - Thayer 275.
De cette œuvre, il ne reste aucun manuscrit original complet. Seules des ébauches très développées sont conservées aux archives de la société des Amis de la Musique de Vienne (et une copie faite par le Nottebohm). Elles ont été publiées dans l'édition de la GA, par Mandyczewsky. Sur la première feuille de l' ébauche se trouve trois mesures qui se réfèrent au premier choeur de la Cantate pour la mort de Joseph II. Un autre thème, plus étendue, se rapproche du premier temps de la Sonate pour piano Opus 2 numéro 1. Le texte poétique est de Ludwig Hòlty. La musique est divisée en deux parties : celle correspondant aux vers qui rappellent la paix lunaire, sereine : un passage lent et doux en 2/4 ; celle, plus lent et triste, "alla breve", avec l'apparition sensible de quelques passages rapides en do mineur et en la mineur, qui a une physionomie troublée et sombre, correspondant aux pressentiments funestes du poète. Le texte : Dein Silber schien Wenn jetzt dein Licht Bald, lieber Freund, |
Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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WoO 115 1792-1793 0'53" |
An Minna: Nur bei dir (seulement près de toi) pour voix et piano. Novembre 1792 - Début 1793. Publié la première fois dans le GA, 1888. G.A. numéro 280 (série 25/17) Boett. II/7 - Bruers 268 - KH WoO 115 - Petters 46 Schunemann pages 218-237 - Thayer 276. Le manuscrit est conservé dans les archives des Amis de la Musique de Vienne. Le texte : Nur bei dir, an deinem Herzen, |
Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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WoO 116a 1792-1793 0'52" |
Que
le temps me dure, lied pour voix et piano. Texte : Jean-Jacques Rousseau. Version en do mineur. |
Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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WoO 116b 1792-1793 0'48" |
Que
le temps me dure, lied pour voix et piano. Texte : Jean-Jacques Rousseau. Version en do majeur. |
Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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WoO 117 1792 0'32" |
Der freie Mann : Wer ist ein freier Mann ?, lied en do majeur, pour choeur à l'unisson. |
Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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WoO 118 1795 5'25" |
Seufzer einer umgeliebten und gegenliebe (Soupir d'un homme mal aimé et amour réciproque ) : Hast du nicht Liebe zugemssen (Tu n'as pas destiné l' amour), pour voix et piano, 1794 - mars 1795, publié à Vienne, Diabelli, avril 1837. GA. n. 253, série 23/40, - Boett. III/5 - Bruers 254 - KH., Wo0) 118 - L. IV, p. 357/c - Nottebohm page 185 - Petters 53. Le manuscrit original a disparu. Le texte poétique se compose de deux poésies de Burger, réunies par le musicien dans une seule composition, qui suit la forme d'un "aria" : Recitativo - Andantino - Allegretto. Le sujet de cette œuvre sera, environ douze an après, reprise et traité avec instruments et voix, avec grande variété, dans la Fantaisie opus 80 pour piano, choeur et orchestre : clair, bien qu'élémentaire annonce du "Finale"de la Neuvième Symphonie, opus 125. Le texte : Hast du nicht Liebe zugemessen |
Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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WoO 119 1795 1'48" |
Oh
care selve, "canzonetta" pour
choeur, voix et piano, janvier-mars 1795, publiée
la première fois dans le supplément
du G.A., 1888. Cette composition fait partie des études de chant sur texte Italien, faites par Beethoven à l'école de Salieri. Le manuscrit est à la Deutsche Staatsbibliothek de Berlin. Le texte est tiré par la "Olimpiade" de Metastasio, premier acte, scène quatre. Choeur : Soliste : Choeur : Soliste : Choeur : |
Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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WoO 120 1794 3'21" |
Man strebt die Flamme zu verhehlen (On tente de dissimuler la flamme) pour voix et piano, composé pour la dame Weissenthurn, 1794 - mars 1795, publié pour la première fois dans le Supplément de la GA, 1888 GA. n. 278 (série 25/15) - Boett. 11/8 - B. 267 - KH. (WO0) 120 - P. 45 - SCH. p. 218/38 - Thayer 268. Le manuscrit original est conservé dans les archives de la Société des Amis de la Musique de Vienne. L'auteur du texte est inconnu. La référence de Prod'homme, dans son catalogue, est erronée : elle n'a avec la chanson "Als die Geliebte sich trennen wollte" que les deux premières mesures. La mélodie, tant pour l'identité du ton que pour la physionomie expressive, a quelque ressemblance avec l'Adagio de la Sonate pour piano op. 2 n°1. Texte : Man strebt, die Flamme zu verhehlen, Geheimnisvoll schließt man die Lippen, Ein Blick sagt mehr als tausend Worte, |
Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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WoO 121 1796 2'33" |
Abschiedsgesang an Wiens Bürger (Chant d'adieu aux bourgeois de Vienne) : Keine Klage soll erschallen... (Aucune plainte ne doit se faire entendre.) pour voix, choeur et piano, dédié à Köwesdy, novembre 1796, publié à Vienne, Artaria, novembre 1796. GA. n. 230 (série 23/16) - Boett. IV/1 - B. 231 - KH. (WO0)121 - L. IV, P. 352/C/2 - N. P. 177 - P. 68 - T. 45. Le manuscrit original est perdu. D'après les écrits de Thayer-Riemann, les victoires remportées en Italie par Napoléon en 1796 avaient suscité une crainte dans la population viennoise qui forma des milices citadines spéciales pour la défense nationale. Ces dernières formaient un bataillon de 1 400 hommes d'infanterie légère, constituées sous le nom de «Corps des libres volontaires Viennois» et étaient sous le commandement du majeur Köwesdy. Texte par Josef von Friedelberg : Keine Klage soll erschallen, |
Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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WoO 122 1797 0'51" |
Kriegslied der Osterreicher : Ein grosses deutsches Volk sind wir, lied en do majeur, pour choeur à l'unisson. |
Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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WoO 123 1795 ? 1'28" |
Zartliche Liebe : Ich liebe dich, so wie du mich, lied en sol majeur, pour voix et piano. |
Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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WoO 124 1795-1796 ? 0'45" |
La Partenza (Der Abschied) : Ecco quel fiero istante !, lied en la majeur, pour voix et piano. |
Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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WoO 125 1798 3'20" |
La
Tiranna: Ah grief to Think!, (ah, quelle
douleur d'y penser) pour voix et piano. 1798 environ.
Publié à Londres, Broderip et Wilkinson
1800. H. 135 - KH. (WoO)125. La découverte de cette composition, dont le manuscrit original est perdu, a été réalisée par l'amateur de musique William Wennington qui, se trouvant en 1798 à Vienne, eut occasion de l'entendre chanter, probablement chez Lichnowskv, et il en porta à Londres une copie manuscrite. Il l'imprima avec le texte en anglais, qui a été maintenu dans la publication récente de Hess. Cependant, nous ne savons pas si cela correspond au lied original. La musique est lisse et agréable, sans intention particulière d'exprimer un sentiment quelconque. La tiranna (texte de William
Wennington) |
Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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WoO 126 1794 1'09" |
Opferlied : Die Flamme lodert, lied en mi majeur, pour voix et piano. |
Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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WoO 128 1798-1799 1'09" |
Plaisir d'aimer : Plaisir d'aimer besoin d'une âme tendre, lied en sol majeur, pour voix et piano. |
Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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WoO 130 1804 1'40" |
Gedenke
mein! lied pour voix et piano, composé
fin 1804, et publié à Vienne, veuve
Haslinger, 1844.
Le manuscrit est perdu. Une ébauche
se trouve sur une feuille unique entre les autographes
Grasnick de la Deutsche Staatsbibliothek de
Berlin (Boettcher). Le texte est d'un auteur inconnu : Gedenke mein! |
Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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WoO 131 1809-1810 4'01" |
Erlköning
(Le roi des aulnes) : Wer reitet
so spat durch Nacht und Wind? (Qui chevauche si
tard à travers la nuit et le vent ?).
Ébauche d'un lied en ré mineur,
pour voix et piano, 1809-1810.
Publié à Leipzig, Schuberth et C. (complété par Rheinhold Becker, 1897) ; puis à New York, Luckhardt et Belder (complété par Heinrich Zòllner), 1898. Boett. V119 - B. 287/1 - 14. 148 - KH. (WoO) 131 - Biamonti 526. Il existe deux manuscrits originaux de cette ébauche :
Il nous semble que l'ébauche de l'Erköning puisse être datée de cette même période, au moins pour la seconde version, qui est la plus développée. De toute manière, même si le lied n'est pas fini, il n'en reste pas moins que cette musique est sans aucun doute un chef-d'œuvre. Texte de Goethe : Wer reitet so spaet durch Nacht
und Wind? Mein Sohn, was birgst du so
bang dein Gesicht? "Du liebes Kind, komm,
geh' mit mir, Mein Vater, mein Vater, und
hoerest du nicht, "Willst, feiner Knabe,
du mit mir geh'n? Mein Vater, mein Vater und siehst
du nicht dort "Ich liebe dich, mich reizt
deine schoene Gestalt; Dem Vater grausest's, er reitet
geschwind, |
Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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WoO 133 1807 1'33" |
In questa tomba oscura, ariette en la bémol majeur, pour voix et piano. |
Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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WoO 134 1806 1'12" 1'07" 0'29" 1'26" |
Nur wer die Sehnsucht kennt,
lied en sol mineur, pour voix et piano - Texte
: Johann Wolfgang von Goethe. 134-1 : Première version 134-2 : Seconde version 134-3 : Troisième version 134-4 : Quatrième version |
Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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WoO 136 1809 2'33" |
Andenken : Ich denke dein, lied en ré majeur, pour voix et piano. |
Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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WoO 138 1809 1'55" |
Der Jüngling in der Fremde (Le jeune en pays étranger) Der Frühling entbluhet (le printemps fleurit). Lied pour voix et piano, 1809, publié à Vienne, Artaria, juillet 1810. Les six strophes de cette chanson, de Christian Ludwig Reissig, se déroulent toutes sur un seul motif musical qui originalement était destiné au "Lied aus der Ferne" (puis refait par Beethoven dans un second temps, sous la forme plus complexe et élaborée de : WoO 137). Texte : Der Frühling entblühet dem Schoß der Natur, |
Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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WoO 139 1809 2'52" |
Der Liebende : Welch ein wunderbares Leben, lied en ré majeur, pour voix et piano. |
Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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WoO 142 1813 0'36" |
Der Bardengeist : Dort auf dem hohen Felsen sang, lied en mi mineur, pour voix et piano. |
Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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WoO 143 1814 0'41" |
Des Kriegers Abschied : Ich zieh'ins Feld von Lieb'entbrannt, lied en mi bémol majeur, pour voix et piano. |
Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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WoO 145 1815 1'25" |
Das Geheimnis : Wo blüht das Blümchen, das nie verblüht? pour voix et piano, 1815, publié à Bonn, Simrock, début 1817, avec le sous-titre : Liebe und Warheit (Amour et vérité). GA. n. 245 (série 23/32) - Boett. XI/1 - B. 250 - KH. (WO0)145 - L. IV, P. 347/A - N. P. 184 - T. 203. Du manuscrit original, offert par Beethoven à Fanny Giannatasio del Rio puis parvenu à l'éditeur Simrock pour impression, est aujourd'hui disparu. Des ébauches se trouvent dans le cahier Miller de la collection Kock. Le texte est de Ignace H. C. von Weissenberg, évêque de Constance. Les deux strophes ont la même mélodie simple, que la phrase mélodique ne prive pas d'originalité. Les paroles : Das Geheimnis - (Liebe und Wahrheit) |
Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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WoO 148 1817 0'42" |
So oder so : Nord oder Sud !, lied en fa majeur, pour voix et piano. |
Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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WoO 150 1820 4'21" |
Abendlied unterm gestirnten Himmel (Chanson du soir sous le ciel étoilé): Wenn die Sonne niedersinket (Quand le soleil se couche) pour voix et piano dédié au docteur Braunhofer, le 4 mars 1820, publiée la première fois comme appendice musical au Wiener Zeitschrift fur Kunst, Literatur, Theater und Mode du 28 mars 1820.
GA. n. 247 (série 23/34) - Boett. XIII, 4 - Bruers 253 KH. (WoO)150 - L. IV, 351 /» - N. P. 185 - T. 221. Le manuscrit original se trouve à la Nationalbliothek de Vienne ; les ébauches sont à la Deutsche Stadtbibliothek de Berlin. Huit strophes d'un texte de H. Goeble sont réunies à deux à deux, et forment quatre groupes évoluant musicalement pour correspondre à l'état d'âme et à la sérénité exprimés par les paroles. Le texte de Heinrich Goeble : Wenn die Sonne nieder sinket Schaut so gern nach jenen Sternen Ob der Erde Stürme toben, Eine leise Ahnung schauert |
Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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WoO 151 1823 0'57" |
Der
edle Mensch sei hulfreich und gut : Der edle Mensch
sei hulfreich und gut ! Hess 132 - KH. (Wo0)151 - Thayer 239. L'original, onze mesures sur un court texte de Johann Wolfgang von Goethe, se trouve à la société des Amis de la Musique de Vienne. Les paroles : Der edle Mensch sei |
Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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WoO 156 1817-1818 1'23" |
Lieder Ecossais (12) pour voix,
piano, violon et violoncelle. Beethoven a soigné
l'harmonisation et il a créé la
partie instrumentale (introduction, conclusion,
accompagnements). Quelques-uns de ces lieder ont été publiés par Thomson, Édimbourg, en 1822,1824 et 1825. L'intégralité a été publiée en 1839-1841. WoO 156 numéro 2 - Duncan Gray : "Duncan Gray came here to woo". Chant populaire pour trois voix, piano, violon, violoncelle. Manuscrit original disparu. |
Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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WoO 178 1820 2'21" |
Signor Abate..., canon à 3 voix, en si bémol majeur.
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Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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WoO 183 1823 0'26" |
Bester Herr Graf, Sie sind ein Schaf (Excellent monsieur le comte, vous êtes... un mouton) Canon pour le comte Moritz Lichnowsky, 20 février 1823, publié en fac-simile en appendice au dixième des dossierw du Mus. Krit. Repertorium aller neuen Erscheinungen im Gebiete der Tonkunst (Répertoire critique musical de toutes les nouveautés dans le royaume de la musique), Leipzig, 1844 ; à presse du Kalischer et en partition de M.A.L. ; récemment de W. Hess dans le cinquième dossier des Supplemente zur G A., 1962. H. 261 - B. 327 - KH. (WOO)183 - T. 248 Le manuscrit original se trouve à la Deutsche Staatsbibliothek de Berlin. Ce canon, peu cérémonieux, aurait été adressé par Beethoven, selon Schindler, à son ami comte Moritz Lichnowsky. Il est résolu ici à quatre voix à l'unisson.
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Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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WoO 200 1818 0'12" |
O Hoffnung, thème de lied en sol majeur.
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Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
Anhang 18 - Nachruf oder "An Sie" Lied pour voix et piano / Première mondiale Voir l'étude complète de Michel Rouch dans le n°11 de "Beethoven", la revue de l'Association Beethoven France et Francophonie.
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