N'oubliez pas de réserver l'exposition "Ludwig van Beethoven, sa vie, son oeuvre" auprès de Association Beethoven France et Francophonie, à découvrir sur le site de l'ABF |
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Écouter quelques autres uvres de Ludwig van Beethoven |
A ce jour, ce site www.LvBeethoven.fr vous propose 928 fichiers midi et 389 fichiers mp3des œuvres de Ludwig van Beethoven. En ce qui concerne les fichiers Midi, ce sont des musiques au son électronique, qui sont créés - on dit "séquencés" - par des musiciens qui en deviennent propriétaires. Ce n'est donc pas un son issu d'un orchestre, mais le résultat est souvent surprenant. A vous de les écouter... N'hésitez pas à consulter notre rubrique "Quelques précisions sur les fichiers midi". |
Œuvres pour orchestre |
WoO 3 1822 4'32" |
Gratulations-Menuett, en mi bémol majeur, pour orchestre composé pour Carl Friedrich Hensler Tempo di Menuetto quasi Allegretto. | Séquencé par Pierre-Jean Chenevez |
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WoO 8-1 1795 2'13" |
Première Allemande pour orchestre (Transcription libre pour piano de la danse WoO 8 / Hess 100 numéro 1) |
Séquencé par Pierre-Jean Chenevez |
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WoO 10 1795 ? 10'08" |
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Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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WoO 12 1799 22'24" |
12 menuets pour orchestre (probablement des œuvres du frère de Beethoven, Carl) |
Séquencé par Pierre-Jean Chenevez |
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WoO 13 1796-1797 14'50" |
Douze allemandes pour orchestre
Douze Danses allemandes pour orchestre (en réduction pour piano), composées en 1800, publiées pour la première fois environ en 1929 par O. E. Deutsch, Vienne (Prague-Lipsie), ed. Strache ; puis par Edwin Fischer et Georg Schunemann, Berlin, Eichmann, 1937 ; récemment de W. Hess dans le huitième dossier des Supplemente zur GA., 1964. Bruers 350 - Hess 5 - Kinsky-Halms (WoO)13 - Thayer 291. Le manuscrit original de la partition et des parties d'orchestre a disparu : la Deutsche Staatsbibliothek de Berlin conserve une copie de la réduction pour piano, revue probablement par Beethoven lui-même, dans lequel il est dit aussi que les danses furent exécutées dans une «petite salle du palais impérial». Deutsch précise qu'elles n'ont pas été écrites pour la "Société des retraites des Artistes des Arts Figuratives", mais à l'occasion d'une des fêtes dansantes usuelles, près de Vienne, non en 1796-1797, comme on croyait, mais autours au 1800. |
Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
Œuvres pour orgue |
Fugue à 2 voix, en ré majeur,
pour orgue "In geschwinder Bewegung" | Séquencé par Pierre-Jean Chenevez |
Œuvres pour instrument mécaniques |
5 Mouvements pour flûte ou horloge musicale : la suite WoO 33 fut écrite par Beethoven pour le Flötenhur de la "Galerie d'art" du comte Deym, à Vienne. |
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Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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n°3 : 1'57" |
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Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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n° 4 : 9'36" n° 5 : 4'34" |
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Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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Hess 107 1807-1819 3'00" |
Marche, en fa majeur, pour horloge mécanique : "Grenadiermarsch"
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Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
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Hess 108 1813 6'58" |
La victoire de Wellington ou La Bataille de Vittoria (opus 91), version originale pour le Panharmonicon construit par Maelzel. Nul n'est certain de la sonorité du Panharmonicon, mais voici une proposition intéressante... |
Séquencé par Mark S. Zimmer |
Autres œuvres de Ludwig van Beethoven |
WoO 204 1825 0'10" |
Holz geigt die Quartette... (Holz joue les quatuors...), plaisanterie pour Carl Holz, septembre fin 1825, publiée par Thayer R., V, page 250. HESS 284 - KH. (WoO) 204. L'original se trouve dans un cahier de conversation du septembre 1825, conservé dans la Deutsche Staatsbibliothek de Berlin. Les paroles : Holz geigt die Quartette so an sie Kraut eintreten (Holz joue les quatuors comme si c'était une machine pour hacher les choux) sont de Karl van Beethoven, petit-fils du maître. Le violoniste Holz, qui fut l'un des familiers de Beethoven dans les dernières années de la vie du maître, il avait dû remplacer le premier violon Schuppanzigh, momentanément absent, dans une exécution des Quatuors op. 127 et 132. On peut déduire d'une lettre de Karl à l'oncle (Th. R., V, pag, 248, Notes) que l'exécution n'a pas du être parfaite, d'où la plaisanterie.
Ci-après, la plaisanterie est résolue à canon aux deux voix, (canon "infinitus" à l' unisson) mais on peut résoudre à trois, quatre et plus voix aussi.
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Séquencé par Fiorella e Armando Orlandi |
Les créateurs des fichiers midi |
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